"Seul en scène" Les notes qui s’aiment
[ Une histoire de la musique telle que vous ne l’avez jamais entendue ]
"La Sultane" - (Du piano solo au trio)
La Sultane, dont la sortie est prévue en octobre 2025, est le cinquième album que la musique arménienne inspire à André Manoukian. Elle est pour lui une source de création inépuisable.
Les couleurs de la musique arménienne se mêlent parfaitement au jazz modal. Sur scène, l’artiste aime à dire que ses origines orientales sont aussi celles de nos musiques occidentales.
Son piano devient sa mémoire intime, son héritage culturel, une langue de tendresse. Entre Orient et Occident, ses compositions soutenues par le phrasé spectaculaire des tablas indiens de Mosin Kawa, le violoncelle de
Guillaume Latil, dessinent un horizon sans frontières, des arabesques levantines comme autant de routes initiatiques, de labyrinthes, de méandres, qui semblent épouser les plis et replis de nos mémoires.
« Ma Sultane, c’est ainsi que ma mère appelait ma petite soeur avant de la dévorer de baisers. Un mot turc pour exprimer l’amour débordant des mères arméniennes envers leurs filles. Les garçons avaient droit à : mon Pacha.»
Un concert qui allie virtuosité, ravissement et délicatesse.
Entre duel et duo Jean-Francois Zygel et André Manoukian
Tous les coups sont permis dans le duel André Manoukian et Jean-François Zygel. Il faut dire que pour la répartie (pianistique et verbale) les deux protagonistes ne sont pas en reste ! Mais rassurez-vous, la lutte est plutôt bon enfant et le ton léger !
Chacun à son clavier, tantôt adversaires tantôt complices, les deux musiciens disputent une partie de notes enragée.. Nourries de variations et de plages improvisées, leurs tribulations croisent Bach, Beethoven, Brel, Bill Evans, Mozart ou encore Duke Ellington. André Manoukian et Jean-François Zygel ont tous les deux le verbe, le piano, l’humour, l’expression, la passion de la musique et un talent extraordinaire de transmission. Pas de doute : ils s’amusent sur scène et ils vous amuseront aussi.